Coca light

On me demande souvent de faire partager mon « expérience »: c’est par celle ci que je vais commencer:
J’ai longtemps bu du coca light, j’ai été un véritable accro en tournant parfois à + d’1,5l par jour. C’est bien simple, je buvais bien + de coca light que d’eau !
La canette bien fraiche me faisait craquer au bureau, en partant au boulot, pour me couper la faim, en voiture, avant de partir à l’entrainement, à table aussi ou encore lorsque je devais me motiver pour tondre la pelouse par exemple… !
Aigreur d’estomac, faiblesse dentaire, reflux gastrique, nervosité passagère, faiblesse osseuse, pas envie de boire de l’eau: rien ne me paraissait différent des autre vies et jamais au grand jamais j’aurai mis ça sur le compte de ma boisson préférée: c’st tellement bon d’en boire.
Parfois on me disait « c’est pas terrible » et on m’envoyait par mail un lien internet sur les dangers de cette boisson mais pff…pas vrai: c’est de la connerie tout ça !
N’empêche que j’ai subitement décidé de tout arrêter, du jour au lendemain, au soir du 29 novembre 2014. J’ai décidé d’arréter parce que j’ai commencer à penser que ça pouvait ne pas être « terrible » d’en boire autant. J’ai d’un coup d’un seul pris conscience de cela et j’ai dit tel un fumeur « ce soir j’arrête « .
Depuis, ces désagréments ont disparu et l’addiction avec.
Par quoi j’ai remplacé ce plaisir de boire du coca light ? Par du Perrier/Saint Yorre/Badoit, de l’eau plate, par le plaisir de ne plus en boire et par la sensation de mieux pratiquer mon sport grace à une meilleure récupération…
Je pense que le coca light (ou zero c’est pareil) développe un phénomène d’addiction qui fait qu’1 canette en appelle une autre…
Si je vous raconte ma vie, c’est parce que je veux faire partager cette expérience et vous avertir sur les désagréments de cette boisson.
Bien sur, une canette par ci par là n’est sans pas un problème mais je sais très bien que d’1 canette/jour, je passerai à 2 « exceptionnellement » puis 3 et ainsi de suite….
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